Après l’affaire dite des cellules Stap où une jeune chercheuse japonaise a été accusée de contrefaçon d’images dans un article scientifique, c’est le président-même du comité d’enquête accusateur qui se voit contraint à la démission pour une raison voisine.
Le professeur Shunsuke Ishii a reconnu que des « copier-coller » auraient été effectués dans le but de parfaire les explications…
Lire la suite de l’article: AFP
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